17 sept. 2008

Pourquoi « c'est meilleur au privé » ?

« Si autant de gens pensent que c’est meilleur au privé, c’est d’abord parce que trop peu de gens oeuvrant au public s’identifient positivement à son milieu ne cessant de jalouser ce qui se passe ailleurs, au public et au privé. J’inclus dans ça les parents d’élèves qui fréquentent le public et qui chialent plutôt que de s’investir, les administrateurs qui font tout pour les éloigner et refiler les problèmes à d’autres (en bas et en haut) et les enseignants qui tolèrent certaines positions syndicales auxquelles ils n’adhèrent pas en se tassant quand l’information leur arrive ou en acceptant en silence qu’on défende parfois l’indéfendable. Vrai que les enseignants ont aujourd’hui une profession vulnérable, exigeante et difficile, mais la qualité de leur organisation repose en grande partie sur leur capacité d’agir personnellement, très peu sur celle de la capacité d’agir de leur syndicat. Trop de choses au public se décident «au provincial» et les parents se tournent trop souvent vers le privé parce qu’ils ont la conviction que dans ce réseau, les profs et les administrateurs locaux ont une prise sur ce qui leur arrive!

« [...] Le taux de décrochage à Montréal et au Québec est une hypothèque terrible sur le développement de notre société, beaucoup en conviennent. Pourtant, dès qu’il est question d’agir pour que l’école arrive à trouver sa pertinence aux yeux des élèves à risque et des parents décrocheurs, des dénigreurs de toutes sortes viennent nous servir le discours de ce qu’il faudrait qu’elle soit à leurs yeux. «Trop de programme particuliers», «pas assez de par coeur, de notes et de compétition», «trop d’informatique et de projets» et «aucun recours aux grands classiques qui ont fait leurs preuves avec nous». Qui plus est, il ne faudrait pas faire d’efforts particuliers pour les garçons de peur de donner de la prise à cette culture «de la victimisation» qui font passer les filles pour des coupables de leur meilleur succès à l’école! »

Mario Asselin

27 août 2008

« Il faut accepter de réfléchir les questions d'éducation autrement... »

C'est du Clément Laberge. Un éducateur invétéré. 'Apôtre visionnaire' de la cité éducative : un concept qu'il qualifie d'utopique -- mais que je crois plutôt avant-gardiste -- de l'école...

« [...] On en demande déjà beaucoup à l'école. On lui demande trop. On demande trop à ses acteurs. Trop de trop de choses. Trop de variété. On ne devrait confier à l'école que ce qu'il n'est pas possible pour la société de faire autrement. Seulement ce qui demande une telle concentration de ressources et de moyens qu'il n'est pas possible — encore — de permettre aux enfants d'apprendre autrement. C'est le sens historique de la création de l'école.

« [...] Dans une société de plus en plus riche — à tous égards — je pense qu'on devrait progressivement alléger le fardeau de l'école... et revenir à l'essentiel: exiger d'elle ce qui ne peut pas être fait autrement. Ce n'est malheureusement pas ce qu'on fait aujourd'hui. Même ce qu'on pourrait faire avantageusement hors de l'école on le demande à l'école. C'est trop facile. Et contre-productif.

« [...] Il faut accepter de réfléchir les questions d'éducation autrement. Il faut accepter de remettre en question le paradigme fondateur de l'école contemporaine: 100% des élèves à l'école, en présence d'un prof 100% du temps.

« La culture de l'accompagnement (...) ce ne devrait pas une exigence faite aux profs : c'est l'affaire de toute la société. Les enfants devraient être plus souvent bienvenus sur les lieux de travail. On devrait inventer de nouveaux espaces de rencontres entre professionnels et étudiants. On devrait faire plus souvent appel aux jeunes retraités et aux personnes âgées pour réaliser des activités éducatives au coeur de la ville. On devrait utiliser davantage les places publiques. On ne devrait plus construire un immeuble sans prévoir au rez-de-chaussé un espace éducatif pour être en mesure de témoigner de l'importance des activités qui s'y déroulent dans la vie de la communauté. On ne devrait plus accepter que les journaux soient publiés sans quelques pages où, chaque jour, des jeunes pourraient interpeller leurs aînés, proposer des projets, faire appel à de l'aide ou solliciter des conseils.

« [...] Comment est-il possible qu'en 2008, toutes les écoles n'aient pas déjà au moins une page web avec, en permanence, une liste de besoins et de souhaits continuellement mis à jour? Une page Web qui la relie aux autres écoles de leur secteur, à l'hôtel de ville, à des associations, aux familles, aux écoles d'autres villes — voire d'autres pays. Un système de pages Web (et de flux rss) qui permettrait de structurer les besoins, de façon dynamique; qui permettrait aux forces vives d'un milieu de s'engager aux côtés des profs; qui permettrait aux milieux de constater plus adéquatement qu'un palmarès les richesses et les forces les uns des autres — et à l'État de pallier aux iniquités, lorsque nécessaire.

« [...] On aura beau mettre tous nos espoirs et toutes nos ressources entre les quatre murs de l'école, si on ne place pas celle-ci au coeur d'un véritable écosystème communautaire nous serons cruellement déçus. L'école au centre de la société c'est anachronique: l'école au coeur de la vie communautaire — et de la vie des jeunes c'est mieux. (...)

« La cité éducative c'est ça. La cité ce n'est pas la ville. Ce n'est pas le pays. C'est l'environnement dans lequel on vit. C'est l'espace qu'on partage avec les autres. C'est le vivre ensemble. Et pour bien vivre ensemble, je suis convaincu qu'il n'y a rien comme apprendre ensemble. (...) Il faut réhabiliter la place publique comme lieu d'apprentissage. (...) L'école reste nécessaire, bien sûr — mais seulement quand on ne peut pas faire autrement. (...) Osons croire que l'école c'est là où on va pour apprendre seulement ce qu'il n'est pas possible d'apprendre mieux ailleurs... »

Clément Laberge

5 juin 2008

Avec l'âge vient la paresse?

I think it is in our nature to be lazy. We work, most of us, only if and when we think we have to (though a number of our civilization's guilt trips and propaganda techniques can make us feel we have to when we really don't). Liberals and conservatives alike deplore lazyness (through they don't agree on what that is). We are told that we get out of our lives (and relationships, and communities) only what we put into them. Loitering in many places is criminal behaviour. Idleness is "the devil's workshop", we are told. We are indoctrinated to believe that a good marriage (or equivalent) takes continuous hard work. That anything worth doing is worth doing well. That time is something we 'invest', carefully and diligently, to generate an optimal 'return', or else it is 'wasted'. And a person who does not keep busy is described as indolent, a word that, tellingly, originally meant incapable of feeling pain.

Despite the propaganda, I think we (and all creatures) are inherently disinclined to do hard work. All this industry is, after all, responsible for most of the pollution, global warming, suburban sprawl and much of the other environmental destruction that is desolating our Earth. The words conservative and conservation both mean to keep things unchanged, leave things as they are.

So I was initially inclined to chalk up my boomer cohort's growing work-fatigue (and my own) to lazyness. But if that were so, we wouldn't have worked so hard, on so many ambitious and ultimately largely fruitless causes, when we were younger. My aversion to taking on responsibility and new commitments is a relatively new personality quirk. When I was younger I wanted more responsibility (because with it came authority) -- "power to the people" meant responsibility as well, and we were ready.

It's not that I've become more irresponsible or noncommittal. I still care just as much. I thought to ascribe it, then, to getting older, to having less energy. I used to love to flirt, but damn it's hard work. And if you're not careful, you end up with the object of your attention, some way-too-young-for-you thing, expecting more from you, and then when they open their mouth and say something really boneheaded and your eyes roll back in your head and you run for the hills and say to yourself "Whew, dodged a bullet there". Whereas if it had happened twenty years earlier, well...

David Pollard, Are We Boomers Getting Lazy, or Are We Just Getting Old?

17 nov. 2007

Télétourisme en France grâce aux blogues

À l'occasion des 2e Rencontres du blog d'expression locale à Alençon organisées par Xavier de Mazenod, j'entreprends un rapide télétour de France via quelques-uns des blogues inscrits dans la catégorie Vie locale.
  1. Réinventons Saint-Malo par Jonathan Debauve [***]
    Jonathan s'intéresse visiblement à tout ce qui est politique française et ne craint pas de donner son opinion sur les événements qui le touchent de près. Il m'apprend que le maire de Paris a son vlog. Réinventons Saint-Malo pourrait tout aussi bien s'appeler Réinventons la France.
  2. Oissel, le blog photo d'un Osselien [****] - hv
    De belles images (photos et vidéos) de la Normandie dans une présentation soignée. Aussi, trois dossiers sur Oissel.
  3. Quoi de neuf à Uxelles... et dans le Jura [***]
    J'y apprends qu'Uxelles compte 44 habitants et que le 13 novembre y amenait la première neige... L'auteur aime son patelin, ça se sent. Il aime aussi les 'gif animés'.
  4. Le (audio-vidéo)blog de Roubaix [***] - hv
    Beaucoup d'informations mais inaccessibles sans une connexion Internet haute vitesse.
  5. (à suivre...)

30 avr. 2007

Le blogue, outil d'enseignement

Enseigner ne peut se faire que dans la générosité. Enseignement et blogue font donc une belle paire. Je présenterai ici des blogueurs et blogueuses qui ne manquent aucune occasion pour partager en ligne leur savoir.

Outil d'enseignement de l'orthographe
Choux de Siam, par Line Gingras
Parce que j'aime les choux de Siam, et pas seulement la grammaire.
Plateforme : Haut et fort
Jour après jour, au fil de ses lectures, l'auteure rafraîchit nos connaissances en orthographe en commentant les écarts d'écriture de nos journalistes.

29 avr. 2007

Le blogue, outil de création

L'aspect du blogue qui me fascine le plus, c'est son potentiel comme outil de création permettant d'élaborer un projet pour ainsi dire à coeur ouvert : un usage marginal par rapport au blogue 'traditionnel', réservé aux audacieux. J'en ai rencontré maints exemples dans la blogosphère sans toutefois les noter jusqu'à maintenant. J'aurais dû. J'entreprends ici une liste de ces blogues à la marge que je compléterai au fur et à mesure de mes découvertes ou des vôtres.

Outil de documentation généalogique
Steve’s Genealogy Blog - par Stephen Danko
Documenting the Search for My Family History
Plateforme : Wordpress 2.0 - Serveur : Weblogs.us - Modèle : Beccary

Découvert via son billet sur Clark Gibson né en 1823 et baptisé en 1867 : « His baptism is recorded in the folios of John Armstrong, a minister of the Wesleyan Methodist Congregations of the circuit of Saint Armand in Canada East, just weeks before the confederation of Canada. » Étonnant, non?
« I was born in Albany, New York. Through the years I’ve lived in Vermont, Nebraska, and Oregon, and I now reside in San Francisco, California. [...] Since April, 2006, I’ve been writing a daily research blog, where I’ve posted images of the documents important in my personal research and I discuss the relevance of those records in documenting my family history. In the course of writing this blog, I’ve reconnected with lost cousins in Poland, the United Kingdom, and the United States. »

Outil de gestation de bandes dessinées
L'agenda - par Alex A.
Où l'omniscience est à portée de main
Plateforme : Canalblog

Alex
Alex
Découvert via un de ses personnages farfelus, Mickey, seul habitant de Saint-Armand-Du-Pétard-Frisé...

Alex A. est d'une rare générosité. Et, ce qui n'est pas rien : les personnages à la fois absurdes et sympathiques qu'il crée en quelque sorte devant nous pour ses projets d'albums me font tous sourire! Et que dire de ses caricatures...

18 avr. 2007

Un vieux billet d'actualité

J'ai écrit le billet ci-après il y a 4 ans au lendemain de l'assermentation des ministres choisis par Jean Charest pour former son premier Cabinet.

30 avril 2003

Mon cher nouveau Premier Ministre,

Hier, à la télé, nous avons regardé avec beaucoup d'espoir et d'émotions la cérémonie d'assermentation de votre Cabinet. Dans l'ensemble, nous n'avons pas été déçus : le jour où les grands objectifs que vous vous êtes fixés seront atteints, les Québécoises et les Québécois auront fait un grand pas en avant.

Je dis « dans l'ensemble », parce que nous ne comprenons pas que notre député, Monsieur Pierre Paradis, ne fasse pas partie du Conseil des Ministres. Pendant toute la cérémonie, nous avons tenté de deviner quel ministère lui avait été réservé : pour nous, ça allait de soi que Pierre Paradis fasse partie du Cabinet. Jusqu'au moment où, incrédules, nous avons réalisé que tous les fauteuils étaient remplis et que... Pierre Paradis n'y était pas.

Je ne connais pas personnellement Pierre Paradis. Ce que je sais, cependant, c'est qu'il n'est pas resté inactif pendant le long séjour du parti Libéral dans l'opposition : nous avons souvent assisté lors de la période de questions à ses interventions musclées à la défense du vrai monde. Il est parmi ceux et celles qui ont le plus contribué à conserver la vitalité de votre parti durant toutes ces années.

Je ne suis pas objectif; c'est notre député. Mais il méritait mieux que de se faire mettre de côté; il est de ces piliers sur lesquels on bâtit. J'espère seulement que vos motifs pour l'ignorer maintenant sont nobles et louables.

Voilà. Je tenais à vous le dire ouvertement.

Je vous souhaite, Monsieur le Premier Ministre, de garder fièrement le cap jour après jour sur vos idéaux et de faire en sorte que les citoyens de Brome-Missisquoi n'aient pas l'impression d'être restés dans l'opposition!

Jean Trudeau
Simple citoyen

L'eau de qui?

« Le Canada va-t-il accepter le principe de transferts d'eau massifs à destination des Etats-unis ? » Étrangement, la question est posée par Marc Laimé, un Français qui rédige Carnets d'eau, un blog du Monde diplomatique. Il nous apprend que le sujet est débattu en ce moment à huis-clos et qu'un des principes sur la table laisse entendre que notre eau n'est pas canadienne mais nord-américaine... : Les États-Unis ont soif de l'eau du Canada

Paul Malouf s'en inquiète périodiquement dans son blogue A Free Man's Life. Son dernier billet à ce sujet s'adressait directement à Stephen Harper : Canada Must Protect Our Precious Water.

Blogues et démocratisation de l'information

« Traditional media think of distribution: making journalism or movies or programs and sending them out to consumers. This is inverted in a democratized media world, where we all have access to what we want, as well as when and where. »
Virginia Tech : How media are evolving
Le plus bel exemple, à ma connaissance, c'est Netvibes Ecosystem. Avec cette plateforme, chacun peut non seulement créer son propre réseau d'information en s'abonnant aux modules qui lui conviennent parmi la multitude offerte, mais également ajouter à l'offre son propre module de diffusion d'informations locales ou spécialisées.

Lire aussi : Quand les journalistes-citoyens nourrissent la presse (Paul Cauchon, Le Devoir)

16 avr. 2007

Nouveaux-Mondes

Jamais je n'aurais cru être un jour témoin de la naissance d'une télévision citoyenne... Et pourtant c'est bel et bien le cas maintenant. C'est un projet de Nouveaux-Mondes, médias citoyens qui devrait voir le jour en France en novembre prochain : la télévision du développement durable et de la solidarité. Sept thèmes annoncés : Éducation, Santé, Environnement et nature, Culture, sports et loisirs, Développement et économie, Humanitaire et Affaires sociales. Quatre objectifs poursuivis : Nouveaux-Mondes vise à informer de manière positive, à valoriser les énergies, à fédérer les ressources et à agir. Ce dernier objectif -- en faire une télévision de l'agir et de la proximité -- m'apparaît le plus porteur :

De l'agir : « Nouveaux-Mondes médiatise des actions concrètes et agit afin d’obtenir des résultats sur un délai réduit. Les projets sont suivis sur le terrain, permettant ainsi aux personnes qui se sont investies de constater l’impact de leur participation. Le suivi des opérations jusqu'à leur aboutissement est un gage de crédibilité pour Nouveaux-Mondes. »

De la proximité : « Pour offrir une antenne interactive et dynamique, Nouveaux-Mondes veut créer une relation de proximité avec ses partenaires et téléspectateurs. En relayant l’action des associations locales et des collectivités qui ont une parfaite connaissance du terrain, la chaîne renforce son caractère humain et proche des concitoyens. »

Si j'étais Français, j'embarquerais sans hésiter dans l'aventure!

11 avr. 2007

Notre incapacité collective

« Ne pas agir maintenant [devant la menace de catastrophe écologique] garantit des lendemains plus douloureux. Faudra-t-il attendre que la situation nous chauffe vraiment les fesses pour que démocratiquement les décisions soient prises ? (...) L’exemple de notre incapacité collective à gérer les ressources halieutiques… n’est pas rassurant. » (Gilles en vrac)

En fait, c'est notre incapacité à gérer non seulement les ressources halieutiques mais à peu près toutes nos ressources naturelles qui n'est pas rassurant. L'eau, par exemple, celle de la nappe phréatique qu'on laisse aujourd'hui spolier par les embouteilleurs ou celle de nos lacs et rivières qu'on a laissé polluer par les méga entreprises industrielles et agro-alimentaires...

Mon hypothèse en vaut d'autres pour expliquer la torpeur qui nous paralyse : c'est ce sentiment d'aliénation que nous avons par rapport à nos ressources collectives vendues par nos gouvernements pour un petit pain. La terre et l'eau ne nous appartiennent plus -- ou, ce qui revient au même, nous avons collectivement le sentiment qu'ils ne nous appartiennent plus. La perte du sentiment d'appartenance et la conviction qu'il y a collusion entre le politique et l'économique pour nous déposséder de nos richesses collectives nous laissent avec un sentiment de profonde impuissance. On nous a déconnectés, déracinés.

Même localement, c'est l'indifférence totale face à des problématiques comme celle des cyanobactéries qui envahissent nos lacs (perçus comme des propriétés privées).

Et le système démocratique dans lequel nous vivons qui favorise l'électoralisme profitable plutôt que l'imputabilité responsable, ne fera qu'accentuer ce sentiment d'incapacité collective.

9 avr. 2007

Blogue et wiki

Une limitation du blogue, c'est la difficulté d'en faire à la fois un espace de communication et d'information. L'information est vite enfouie sous la pile des billets qui s'ajoutent par la suite.

Je crois avoir trouvé une plateforme prometteuse pour concilier les deux : le wiki de JotSpot. Il s'agit d'un wiki dans lequel on peut installer divers modules dont celui du blogue. Le blogue devient ainsi un élément dans le wiki. JotSpot est la propriété de Google depuis quelques mois; il est impossible de s'y inscrire pour le moment, le temps pour le plus gros d'intégrer le plus petit à sa panoplie d'outils en ligne.

Mais comme les vieux abonnés peuvent toujours l'utiliser, je poursuis mon expérimentation de cette plateforme en développant dans mes temps libres un wiki dédié à la baie Missisquoi, auquel j'ai associé un blogue. J'ai nommé ce blogue-wiki Parlons-en. C'est mon premier wiki... et j'aimerais bien que vous me fassiez part de vos commentaires quant à l'intérêt de cette formule pour associer information et communication.